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nature de la guerre d'indochine

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jeudi, 07 janvier 2021 / Publié dans Uncategorized

nature de la guerre d'indochine

tandis que Jacques Madaule, maire d'Issy-les-Moulineaux, réunit le 19 février 1950 des catholiques pour la paix en Indochine dont des MRP[153], parmi lesquels André Denis. Ils furent progressivement remplacés par des conseillers militaires américains qui formaient l'armée de la république du Sud Vietnam, et à partir de 1961, avec la Seconde Guerre du Vietnam, l'armée américaine prit la relève. Une seconde guerre du Viêt Nam commence. », « Détruire le Vietnam c'est détruire la France », « jamais ses relations avec les chefs militaires français ne furent aisées », « œuvre de propagande pour soutenir le moral du lecteur français », « sacrifie sans compter ses hommes et ses milliards », « dès le danger communiste passé, il faudra, de toute façon, que la France s'en aille », C'est le seul capable de rafraîchir son contenu sept fois par jour, par sept éditions tout au long de la journée, « son discrédit par les critiques internes et externes qui lui furent adressées », « nombre de syndicalistes, catholiques et intellectuels », « réconciliant que sur la réduction des crédits militaires », « voit sa survie outre-mer dans la dissociation claire entre colonisation et christianisation », « avec soulagement et quasi-gratitude une fin scellée », « critiquent systématiquement tout ce qui se fait en Indochine », « « des Allemands, anciens soldats de l’Afrika-Korps de Rommel, faits prisonniers en Afrique », « insiste sur le caractère irrésistible et irréversible d’un processus », « fédérée par l'arbitrage et le ciment de la civilisation française, cesserait d'exister le jour même où elle viendrait à l'indépendance », « jeta toutes sa force militante dans une bataille contre la sale guerre avec des arrière-pensées très franco-françaises », « signé les instructions aux troupes françaises », « Il arrive justement où tu ne peux plus supporter le travail qu'on te fait exécuter… Le drapeau rouge, nos adversaires — les « Viet » comme ils disaient à l'armée — l'arboraient fièrement en nous donnant l'assaut ! En 1947, D'Argenlieu obtient aussi le renvoi en France de Jacques Dauphin, après lui avoir reproché des dépêches pas assez valorisantes pour l'armée[62] puis celui du directeur du bureau Pierre Norgeu, au prétexte d'une erreur du desk parisien dans une dépêche sur ses projets personnels[62], qui aurait pu gêner celui de créer un service en anglais sur l'Indochine, finalement jamais abouti. C’était « le combat du tigre et de l’éléphant » annoncé par Hô Chi Minh : le tigre tapi dans la jungle allait harceler l’éléphant figé qui, peu à peu, se viderait de son sang et mourrait d’épuisement. Le 19 décembre 1946 marque le début de la guerre d'Indochine : après le bombardement du port de Haïphong le 23 novembre 1946 par l'artillerie de l'Armée de terre française, le Việt Minh , dirigé par Hô Chi Minh, décide de lancer une offensive ayant pour but la libération de la ville de Hanoï. Les parties ne trouvant pas par la voie diplomatique (. La guerre d'Indochine a en fait été perdue en octobre 1950, car les troupes françaises évacuèrent toute la région bordant la frontière chinoise et ne contrôlèrent plus au Tonkin que le delta du fleuve Rouge et quelques gros postes. Dès que la guerre d’Indochine prit fin en 1954, Boris Vian se rendit au Café de Flore, et écrivit la chanson Le Déserteur. Maurice de Poitevin « Vaugelade » 86290 – LA TRIMOUILLE ANNEXE VI. Les Français abandonnent leurs bases militaires du Haut-Tonkin, où ils sont sévèrement battus à Cao-Bang en octobre 1950. et le marquis Charles d'Aragon, membre du comité directeur, critiquent la dérive droitière et la dérive guerrière du MRP[153] et quittent le parti[153], avant son congrès de Nantes (18-21 mai 1950) qui entérine la politique indochinoise du gouvernement[153]. Au RPF, qui voit peu à peu affluer les partisans de la guerre, le leader De Gaulle a exclu tout meeting sur le sujet[29] et salué « avec soulagement et quasi-gratitude une fin scellée »[29] en 1954-1955 par Pierre Mendès France. La conférence de Potsdam avait confié le désarmement japonais, en Indochine, aux Chinois nationalistes de Tchang Kaï-chek pour la partie Nord, et à la Grande-Bretagne pour la partie Sud. Dès 1953, le général Catroux, reconnait que « la France, dans de très larges couches de sa population, subit la guerre beaucoup plus qu'elle ne la vit »[171]. Seul le général Claire Lee Chennault, dirigeant les fameux Tigres volants, tentera, contre les ordres reçus, d'aider les troupes en retraite. Mais au Nord, La Voix du Vietnam émet déjà clandestinement depuis septembre 1945 pour le Viet Minh, les Français l'accusant d'avoir récupéré son matériel auprès des japonais[44]. Article publié le 31 juillet 1954 dans la revue mensuelle illustrée "Indochine Sud-Est Asiatique", édité par la "Société Asiatique d'Éditions". Ecole maternelle Anne Frank; Ecole primaire de la Rouge Porte; Ecole maternelle Marie Curie; Ecole maternelle Maria Montessori; Ecole primaire Jean Moulin; Ecole primaire Michelet ; Ecole primaire Jean Macé; Enseignement privé. Et en 1951, Paris-Presse et France-Soir sont réunis dans la société Franpar[127], détenue par Hachette[122] et le tirage de Paris-Presse tombe à seulement 150 000 exemplaires en 1952, divisé par deux en un an[122]. Le premier a lieu dans les derniers jours de 1949[60], quand l'armée chinoise parvient à la frontière sino- vietnamienne, amenant les Américains à débarquer des armes à Saïgon en mars 1950. Lucien Bodard, un ancien de la section presse-information du gouvernement provisoire chargé de l'Extrême-Orient[48] est recruté parFrance-Soir en 1948. Vendredi 7 mai 1954, 18 heures. "Vers une coordination franco-britannique en Indochine et en Malaisie", Fédération nationale de la presse française (FNPF), Archives en ligne du Ministère de la Culture, "Georges Pompidou et la modernité: les tensions de l'innovation, 1962-1974", par Pascal Griset 2006, "Histoire du journal « Le Monde » 1944-2004" par, «Le Monde» de Beuve-Méry ou le Métier d'Alceste, par Jean-Noël Jeanneney, Jacques Julliard, aux Editions Seuil essais en 1979, «Le Monde» de Beuve-Méry ou le Métier d'Alceste", par, "1944-2004, Histoire du journal « Le Monde »" par l'historien, "Pinay l'indépendant" par Jean-Antoine Giansily, en 1995 aux Editions Denoël, " Indochine 1940-1955 : la fin d'un rêve" par Jacques de Folin ; préface d', "Pierre Herbart, journaliste engagé" par Claude Gillet, revue, Thèse de Philippe Tétart , "France observateur" : 1950-1964 : histoire d'un courant de pensée intellectuel, "L'observateur engagé" par Gilles Martinet, éditions Lattès 200, De France Observateur au Nouvel Observateur : 45 ans d'histoire, par Emmanuel Laurentin, le, "Le procès Claude Bourdet contre Combat est plaidé devant la. Le tirage de ce dernier est d'abord divisé par deux en trois ans, passant 600 000 exemplaires en 1948[122] à 300 000 exemplaires en 1951[122], causant à lui seul la moitié de la chute des tirages de la presse quotidienne nationale en 1949 et 1950[123] puis 150 000 exemplaires en 1952, divisé par quatre en quatre ans. INCULPÉS pour la campagne contre la guerre d’Indochine. L'Humanité, plus investi dans la question indochinoise, au lectorat plus militant et moins populaire, a mieux résisté que ces journaux et surtout que Ce soir. À compter de 1950 et dès le début de l'année, le conflit est contesté par des actions violentes lors de la grève des dockers de 1949-1950 en particulier à Marseille mais aussi dans de nombreux ports de France. La mise en forme de cette section ne suit pas les recommandations concernant la, L'échec des accords : la scission en deux États, À l'issue du conflit mondial : 8 ans de conflit armé en Indochine, Décision politique (mars 1945 - septembre 1945), Octobre 1945 : Leclerc et d'Argenlieu sont à Saïgon, En juillet 1946, Leclerc rentre en France, Rupture politique et militaire (novembre - décembre 1946), Une guérilla sanglante, sans possibilité de faire marche arrière, Demande infructueuse d'un soutien américain à la décolonisation (Nord), Le tournant de 1949 : la Chine s'implique pour soutenir le Nord, La création de l'État du Viêt Nam par la France au Sud, Un changement majeur en Chine devenue communiste, A compter de 1950 : l'enlisement à grande échelle, L'aide des États-Unis à la France ne suffit pas, La guerre d'Indochine vue de la métropole française, Deux généraux portés sur la communication, De nouveaux statuts pour l'AFP et Le Monde, Naissance des hebdos d'actualité L'Obs et L'Express, Difficultés de L'Aurore et Paris-Presse, virage de Paris-Match, La presse communiste perd son lectorat populaire, L'Église de France et d'Indochine divisée, Le PCF très engagé à partir de la fin 1949, L'opposition à la guerre dans les entreprises, Les cinéastes, peintres, écrivains et la censure, Les actes d'opposition de civils à la guerre, Otages du Việt Minh et camps de rééducation, Détail des forces françaises en Indochine, L'amiral Thierry d'Argenlieu a pesé lui-même chaque mot, « défense de l’Occident sur le Rhin et le, « lobby, militaire, civil et financier en faveur d'un renforcement de l'effort de guerre », « l'indifférence engendra l'acquiescement à l'inévitable », « la métropole traite le corps expéditionnaire comme une immense Légion étrangère », « la France reconnaît la République du Viêt Nam comme un État libre ayant son gouvernement, son Parlement, son armée et ses finances », « comme des plénipotentiaires importants », « se gagnera d'abord avec le soutien de l'opinion publique », « d'âpres marchandages ont lieu dans le bureau des censeurs », « contre eux une guerre plus efficace que contre le Vietminh », « confirme la valeur de ces troupes et l'autorité de ses chefs », « un tournant dans la guerre d’Indochine », « verrouille tout ce qui ressemble, de près ou de loin, à une contestation de la politique française », « votre directeur général prendra sur lui d'assumer la responsabilité de ce pour quoi vous étiez dénoncés par un pouvoir excessif », « chargée d'étudier les réformes de l'AFP et de préparer un projet de statut », « prônant l'autonomie de l'Indochine et montrent l'impossibilité de la reconquête », « Vous avez un clairon qui ne sonne que les défaites! La guerre d’Indochine débutée dans le délicat contexte de la reconstruction de la France après la 2ème guerre mondiale fut souvent reléguée au second plan des préoccupations des français. Combattant valeureux en 1940, évadé, blessé, il adopte le pseudonyme de Leclerc et rejoint le général de Gaulle à Londres. Beaucoup de prisonniers militaires français passent dans des camps d'internement, situés dans les régions sous contrôle indépendantiste. Après le bombardement du port de Haïphong le 23 novembre 1946 par l'artillerie de l'Armée de terre française, qui marque un revirement total de la politique menée jusqu'alors par le gouvernement français vis-à-vis de la République démocratique du Viêt Nam, il apparaît clairement qu'Hô Chi Minh ne jouera plus l'option de la Fédération indochinoise. Mais après 1947, il devient plus difficile aux chrétiens modérés de le soutenir car il apparait plus comme un communiste[34] et plusieurs s'éloignent[34] mais l'espoir de l'armée, relayé par la presse, d'un fidèle soutien à la France restera illusoire[155],[156]. En vertu de cet accord, les troupes françaises entrent à Hanoï le 18 mars 1946. Elle était constituée par le Canada, la Pologne et l'Inde. Depuis le 26 février 1954, à Genève les représentants de 19 pays sont réunis pour envisager l'avenir de l'Indochine française mais également de la Corée. En décembre 1955, déjà 85 % des effectifs des soldats de l'Union française étaient rentrés en métropole. Puis c'est le Parlement qui l'adopte à son tour à l'unanimité. Le général Salan déclare même: "Si je revois Rizzo en Indochine, je l'encule devant mon bataillon", car le photoreporter réussi à montrer que la France menait "une guerre et pas une opération de police"[102]. Aussi peut-on se réjouir de voir paraître aujourd'hui quelques sérieux ouvrages relatifs à cette première étape de la décolonisation. Mais sur ce million d'exemplaires, la moitié provient du demi-million perdu par Paris-Presse, sans compter ceux récupérés de L'Intransigeant. Le Viêt Minh reçoit du matériel de la part de la Chine devenue communiste en 1949. Le général Giap parvient à organiser 60 000 soldats. Toute résistance a cessé dans le camp retranché de Diên Biên Phu, et, déjà, les bo doïs du général GIAP se répandent comme des nuées de sauterelles dans les tranchées et les abris, pour en faire sortir les derniers défenseurs. En voyageant à travers le delta du fleuve Rouge, nous pouvons encore voir quelques bunkers de combat par le bord de la … En perte de vitesse, mais moins que le MRP, aux législatives de 1951, elle a vu 3 ans avant son leader historique Léon Blum signer en 1948 un article dans le grand quotidien du parti Le Populaire pour demander des négociations avec le Việt Minh[83]. Elle poursuivra dans La Marseillaise la dénonciation de « la sale guerre » en Indochine[144], tandis que Madeleine Riffaud n'exprimera cette passion que dans la Vie ouvrière, journal de la CGT. Le 9 décembre 1945, d'Argenlieu y fait une allocution de 50 minutes, sous des applaudissements mis en scène dans la rue tandis que sont embauchés des reporters liés à l'armée, comme Brigitte Friang, cofondatrice du RPF en 1947, attachée de presse d'André Malraux et Jacques Chancel, qui a fini son service militaire en Indochine, où son oncle l'a confié à William Bazé, grand propriétaire terrien[41],[42]. Entre-temps, Hubert Beuve-Méry a œuvré à protéger aussi de l'intérieur l'indépendance du journal, devenu clairement anticolonialiste. Le journal Libération, animé par un grand résistant proche du PCF, Emmanuel d'Astier de La Vigerie, qui combat fermement la guerre a encore mieux résisté et reste proche de 100 000 exemplaires. Sartre publie, plus tard, en 1953,L'Affaire Henri Martin, lors des rebondissements du procès du militaire Henri Martin, condamné le 20 octobre 1950 à cinq ans de prison pour complicité de sabotage, jugement cassé le 19 mai 1951, confirmé le 19 juillet, Henri Martin, promu symbole de la « lutte du peuple français contre la sale guerre d'Indochine », sortant de prison le 2 août 1953, quand la France ne parle plus que de l'Affaire Henri Martin[167], dont le PCF a fait une seconde "affaire Dreyfus"[168]. Les armes françaises de la guerre d'Indochine t.2 - Livre - En décembre 1950, le général de Lattre de Tassigny est nommé commandant en chef. Lettre accréditive bancaire … André Denis, député de la Dordogne et ex-rédacteur en chef du journal catholique de Limoges, La Liberté du Centre, dirigé par Robert Schmidt, avait plaidé dès 1949 pour des négociations dans son journal, La Gazette du Périgord[153] .En 1950 se manifeste pour la première fois, au sein de ce parti un courant d'opposition important à la guerre[153], d'autant que le syndicat CFTC, traditionnellement proche du MRP, prend lui aussi ses distances avec la politique indochinoise[153]. Ce succès lui attire un concurrent L'Express, créé le 16 mai 1953 par Jean-Jacques Servan-Schreiber, dont la famille avait fondé Les Échos, engagé à 25 ans par Le Monde comme éditorialiste en politique étrangère pour sa bonne connaissance des États-Unis, qui lui permet de se spécialiser sur la guerre froide[98]. Afin de se présenter aux négociations dans la meilleure position possible, les Français décident de renforcer leurs positions militaires. De plus, les gouvernements du Cambodge, du Laos et de l'empereur d'Annam, pourtant protégés par les Français, demandent l'indépendance de leurs pays respectifs. Un film écrit et réalisé par Philippe DEBOST sur l'histoire d'une section de l'armée française vers la fin de la guerre d'Indochine en 1954. 10 (3): 8–15. Les destructions et le pillage des Japonais d'une part, et la pénurie des moyens de transport d'autre part ne permirent pas de faire venir le riz en provenance du Sud en quantité suffisante. L'anticolonialisme de Bourdet était pourtant public, depuis ses articles dans Octobre[88],[90] puis sous sa plume dès 1947, dans Combat[88]. Les civils français et les « Indochinois » sympathisants furent enfermés dans des camps de détention dirigés par la Kenpeitai (police ou gendarmerie militaire japonaise), torturés pour nombre d'entre eux, affamés et abandonnés. Comme Le Figaro ou L'Aurore, il est un des piliers de l'orchestration de campagnes d'opinion martelant que la France y défend la liberté[101] et relaie le lobbying civil, financier et militaire à chaque fois qu'il réclame un renforcement de l'effort de guerre[101]. En 1953, 28 % aussi des électeurs RPF sont partisans de négocier et de retirer les troupes[60]. En 1953-1954, ce financement monta à 785 M$ soit 41 % de l'effort de guerre. Les accords de Genève du 24 juillet 1954 reconnaissent l'indépendance du Laos, du Cambodge et le partage temporaire du Viêt Nam en deux zones de regroupement militaire (l'Armée populaire vietnamienne au nord du 17e parallèle, et le Corps expéditionnaire français en Extrême-Orient au sud de cette zone de démarcation militaire). Une maladresse qui ne peut s'expliquer que par l'« l'ignorance du contexte » ou une « œuvre de propagande pour soutenir le moral du lecteur français », selon le spécialiste de l'histoire des relations internationales contemporaines, Francis Latour. Le 6 mars 1946, la France reconnaît la République démocratique du Viêtnam dans le cadre de l'Union française. Les partisans de l'Indochine française au sein du monde catholique ont tenté de mobiliser l'opinion publique mais se heurtèrent à d'autres catholiques, de France comme d'Indochine, et aux principes édictés par le pape Benoît XV (1914-1922) d’abandonner progressivement la logique colonialiste[34]. Découpées en protectorats ou colonies, les régions formant l'Indochine n'étaient pas administrées de la même manière, ce qui est l'une des raisons du soulèvement qui s'est produit après la seconde guerre mondiale. « Sensible à la Guerre d'Indochine », Paris Match s'en désintéresse après la la défaite[109]. Une concentration de troupes locales pouvait prêter main-forte à un élément des troupes régionales, qui pouvaient également se disperser en troupes locales. C'est pour l'aider dans cette cause que JJSS créé L'Express, rejoint par Françoise Giroud, jeune directrice de la rédaction d'Elle. Le projet émerge dès 1948[74], sous la houlette de Paul Cheminais, PDG de la Société d'études économiques et sociales[74], des articles mentionnant en 1950 qu'il pourrait utiliser le nom de l'ancêtre du Monde jusqu'en 1944, Le Temps dont plusieurs ex-dirigeants sont sollicités, leurs noms apparaissant dans la presse. Dès 1957, se forme le Vietcong qui regroupe les communistes, les nationalistes, des bouddhistes du Viêt Nam du sud et le monde Arabe. Ici l'insuccès est certain… Il faut garder le Viêt Nam dans l'Union française, voilà le but, même s'il faut parler d'indépendance. Le 18 septembre 1949, c'est le quotidien breton Ouest-Matin, fondé dix mois plus tôt par des chrétiens de gauche, qui publie à son tour la lettre d'un soldat accusant les troupes françaises d'atrocités[135],[136], sur fond de vif débat dans l'opinion en métropole sur les « atrocités françaises »[137],[138], et René L'Hermitte couvre fin 1949 les premières manifestations de rues et des refus de chargement d’armes, à Dunkerque et Marseille, qui débouchent sur une longue grève des dockers. Les sources diplomatiques préfèrent, elles, donner les informations sensibles à la britannique Reuters[68]. Des dépêches de Pierre Guillain, un des rares Occidentaux à avoir passé la Seconde Guerre mondiale à Tokyo, au service de l'AFP, ensuite auteur de plusieurs scoops annonçant les difficultés françaises [62], ne sont diffusées qu'aux clients étrangers [62] et il part couvrir la décolonisation de l'Inde, où il se fait embaucher par Le Monde[62]. Union française : 75 581 morts, 64 127 blessés, Việt Minh et alliés : 300 000 morts, 500 000 blessés, 100 000 prisonniers, les royalistes de la Cour de Huê, comme la famille de, les pro-Japonais, qui fondèrent le parti « Dai Viêt » à la suite de l’intellectuel nationaliste. Les premiers débarquements alliés ont lieu à Saïgon du 5 au 12 septembre 1945, avec la 20e division indienne du général Douglas David Gracey, complétée d'un détachement français symbolique, sous uniforme britannique, le 5e RIC, ex-Corps léger d'intervention. Abel Bonnard; Adolf Hitler ; Adriano Scianca; Alain de Benoist; Alain Thiémé; Accueil > Guerre d'Indochine. La base de données des "Morts pour la France" au cours de la Guerre d’Indochine (1945-1954) a été constituée par la saisie et l’indexation d’un fichier établi par le ministère des Anciens combattants au lendemain de ce conflit.Ce fichier est actuellement conservé par le Service historique de la Défense, Pôle des Archives des Victimes des Conflits Contemporains (PAVCC). D'Argenlieu qualifie, en privé, de « Munich indochinois » les accords Hô-Sainteny du 6 mars 1946, par lesquels « la France reconnaît la République du Viêt Nam comme un État libre ayant son gouvernement, son Parlement, son armée et ses finances », 6 mars 1946 et proclame une République de Cochinchine le 1er juin 1946, alors qu’Hô Chi Minh est en France avec le général Raoul Salan, pour des négociations que d'Argenlieu réussira à entraver, après avoir provoqué le départ en juin 1946 du général Leclerc, présent depuis le 5 octobre en raison de leur brouille au sujet de ces négociations avec Hô Chi Minh[33]. À la suite des persécutions orchestrées par le Việt Minh et subies par les Vietnamiens catholiques et loyalistes, s'ensuivit la plus importante opération d'évacuation de l'Histoire, l'opération Passage to Freedom[196]. Sous l'égide de son successeur Raoul Salan, cette offensive, concluante au début (Giap échoue lors de la bataille de Na San, un camp fortifié français sur la route Hanoi-Diên Biên Phu que Giap essayait de couper), s'épuise d'elle-même (Hoa Binh doit être évacué en catastrophe) et doit être arrêtée sans résultat décisif. Parmi les autres revendications qui motivent par la suite cette grève, étendue à la plupart des ports français, se mèlent des exigences salariales comme le slogan "nos trois mille francs"[174] et des mots d'ordre à la fois pacifistes et anti-impérialistes[174]. La guerre d’Indochine fit plus de 500 000 victimes[15] et fut suivie par la guerre du Viêt Nam (1955-1975). L'espace médiatique sera aussi dominé par l'interventionnisme d'un autre général De Lattre de Tassigny, qui en octobre 1951 voyage jusqu'à Rome pour convaincre personnellement le pape Pie XII de recadrer les évêques et notables catholiques du Viêt-nam, qu'il juge trop indulgents envers le Vietminh[34], après avoir mis en place à Saïgon un contrôle envahissant des médias.

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